Titre :	Sang famille
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Michel Bussi (1965-....), Auteur
Mention d'édition :	[Nouvelle édition revue et corrigée par l'auteur]
Editeur :	Presses de la Cité
Année de publication :	DL 2018
Importance :	1 vol. (494 p.)
Présentation :	carte
Format :	23 cm
ISBN/ISSN/EAN :	978-2-258-11309-1
Prix :	21,90 EUR
Langues :	Français
Index. décimale :	843 Fiction
Résumé :	Mensonges ou secrets ' Manipulation ou vérité ' Sang famille Dans la veine des meilleurs suspenses de Michel Bussi. « Tel un soleil brutal, la lumière du phare des Enchaînés inonde la pièce. Une seconde à peine. Puis l'obscurité reprend le dessus, simplement percée du halo des lampes torches. Je vais mourir ici. C'est une certitude. Une seule question me hante, la dernière : jusqu'où sont-ils prêts à aller pour me faire avouer ' A fouiller ma mémoire, comme s'ils pouvaient en arracher les souvenirs qu'ils convoitent ' Tout est allé si vite, à peine quatre jours. Je n'étais alors qu'un adolescent parmi d'autres. Un orphelin. C'est du moins ce qu'on avait toujours voulu me faire croire' »

Sang famille [texte imprimé] / Michel Bussi (1965-....), Auteur  . -  [Nouvelle édition revue et corrigée par l'auteur] . - [S.l.] : Presses de la Cité, DL 2018 . - 1 vol. (494 p.) : carte ; 23 cm.
ISBN : 978-2-258-11309-1 : 21,90 EUR
Langues : Français

Index. décimale :

843 Fiction

Résumé :

Mensonges ou secrets ' Manipulation ou vérité ' Sang famille Dans la veine des meilleurs suspenses de Michel Bussi. « Tel un soleil brutal, la lumière du phare des Enchaînés inonde la pièce. Une seconde à peine. Puis l'obscurité reprend le dessus, simplement percée du halo des lampes torches. Je vais mourir ici. C'est une certitude. Une seule question me hante, la dernière : jusqu'où sont-ils prêts à aller pour me faire avouer ' A fouiller ma mémoire, comme s'ils pouvaient en arracher les souvenirs qu'ils convoitent ' Tout est allé si vite, à peine quatre jours. Je n'étais alors qu'un adolescent parmi d'autres. Un orphelin. C'est du moins ce qu'on avait toujours voulu me faire croire' »